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Le livre des Baltimore

Dernière mise à jour : 12 févr.

L'image de "couverture" de cet article a été empruntée de ce blog.


Hello everyone ! Aujourd'hui je chronique un livre de Joël Dicker, dont j'avais déjà lu son best seller "La vérité sur l'affaire Harry Quebert" que j'avais adoré.


 

Résumé :

Jusqu'au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman.

Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey.

Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.

Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012, il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées.

Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?


 

Auteur : Joël Dicker


Date de parution : 2015


Pages : 480


Ma note : 14,5/20

 

Mon avis :

Généralement, on comprend qu'on a aimé un roman plusieurs jours après l'avoir rangé dans notre bibliothèque. Les personnages nous manquent et on a envie de parler de ce livre à tout le monde. C'est ce qui m'était arrivée pour "La vérité sur l'affaire Harry Quebert (LVSAHQ)", que, sur le coup, j'avais trouvé moyen, puis, quelques temps plus tard, je m'étais rendue compte qu'il m'avait beaucoup plu.

Bref, aujourd'hui j'écris cet article pour vous donner mon avis sur le deuxième roman que j'ai lu de cet auteur, "Le Livre des Baltimore".

Ma première réaction fut la surprise que ce ne soit pas un polar ou une enquête, comme le précédent livre. L'histoire se déroule dans le passé avec quelques retours au présent mais, à la fin, on a l'impression de ne pas avoir avancé dans l'histoire, comme si nous avions écouté quelqu'un parler de sa vie pendant deux heures. Ce n'est pas vraiment un point négatif, mais ça m'a plutôt surpris. Aussi, il faut noter que ce livre s'inscrit comme une suite de LVSAHQ mais ne fait presque aucune allusion à cela.

Pour citer ce que j'ai aimé, je commence par l'écriture. L'auteur est doué, sa plume nous attache au roman et donne envie de le poursuivre sans s'arrêter. Je citerai aussi l'histoire, qui tourne autour d'une famille heureuse se décomposant peu à peu. J'adore les romans de ce genre, comme par exemple Rien ne s'oppose à la nuit ou Revival. Maintenant, ce que j'ai moins apprécié. J'ai commencé à trouver le roman moins bon sur la deuxième moitié, et encore plus sur la fin. Il y a beaucoup de longueurs, comme si l'auteur voulait rajouter des passages pour épaissir le roman. Et sur les deux derniers chapitres, on assiste à une montagne de révélations prévisibles. J'ai vraiment eu l'impression que J.D a fait une liste de dénouements et les a tous casé sur les dernières pages pour surprendre le lecteur...

Bref, j'ai refermé ce roman en me disant que la lectutre était sympa mais n'arrivait pas à la cheville de LVSAHQ...


L'extrait du roman :


"Je suis l'écrivain. C'est ainsi que tout le monde m'appelle.... Je suis l'écrivain, c'est mon identité. Les gens pensent qu'en tant qu'écrivain , votre vie est plutôt paisible. Récemment encore, un de mes amis, se plaignant de la durée de ses trajets quotidiens entre sa maison et son bureau , finit par me dire: " Au fond, toi, tu te lèves le matin , tu t'assieds à ton bureau et tu écris. C'est tout." Je n'avais rien répondu , certainement trop abattu de réaliser combien , dans l'imaginaire collectif , mon travail consistait à ne rien faire . "


 

Et voilà, mon article est terminé, j'espère que vous avez apprécié.

On se retrouve bientôt pour un nouvel article !


À très vite !

Enabla ;)

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